L’ ami du peuple a la tête appuyée sur le bord de la baignoire où il était, quand il reçu le coup mortel; près de la est le couteau ensanglanté qu’une main de femme n’a abandonné qu’après avoir vengé l’humanité. La droite de Marat touche à terre; une plume s’en échappe; l’autre, appuyé sur le dessus de la baignoire, tient une lettre de Charlotte Corday. On y lit ces mots:
Du 13 juillet 1793
Marie-Anne Charlotte CORDAY
au Citoyen MARAT
Pierre-Alexandre Coupin - Essay sur J.L.David (1827)
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